-
Des ficelles
« Tu me dis, j'oublie.
Tu m'enseignes, je me souviens.
Tu m'impliques, j'apprends. »
Benjamin Franklin
Dans cette partie du blog, vous trouverez des ficelles que l'expérience m'a permis d'apprendre et d'utiliser. Des "trucs" très utiles qui peuvent apporter un plus . Cette rubrique, en plus des astuces, elle propose des pistes, des procédés ou seulement des idées qui vous font réfléchir. Des idées, qui vous inspirent et qu'il est possible d'exploiter et d'améliorer.
-
Par saidataha le 15 Juin 2017 à 18:34
Salam, quand j'étais enseignant, j'effectuais par moment des arrêts de classe pendant quelques cinq à six minutes que j'appelai des pauses techniques. En effet, quand je sentais que les élèves ne suivaient plus je mettais tout en veilleuse. Autrement dit j'arrêtais l'activité pour permettre aux élèves de souffler. Parfois, il est plus que nécessaire de le faire mais (ah oui il y a un mais) il existe quelques règles très simples à observer. D'abord, personne ne doit sortir de la classe ni se mettre debout, ensuite, ces moments doivent être observés que lorsque c'est nécessaire. C'est à chaque enseignant de décider quand, combien et comment.
Je tiens seulement à préciser qu'il est important de les faire en douceur. Il faut éviter de le dire aux élèves, on n'a pas besoin de leur dire "on arrête 5 mn". Je pense qu'il faut les faire quand les élèves, par exemple, corrigent un exercice. Faites durer la correction pendant 5 mn. Ainsi, vous ne brisez pas l'élan des élèves quand ils sont en plein activité.
votre commentaire -
Par saidataha le 29 Décembre 2015 à 21:49
Je vous propose un exercice de traduction que j'ai fait en 2ème année secondaire sciences (2S1) en 2001. Je vous signale tout de suite que j'avais deux facteurs qui m'ont facilité la tâche: j'avais une très bonne classe et un effectif relativement réduit ( 32 élèves ). En plus, les élèves tenaient à réaliser ce travail et le publier dans le journal de la classe. J'ai travaillé en étroite collaboration avec le prof de langue pendant plus d'une semaine.
Donc, par groupe, les élèves font une traduction du texte déjà étudié. Il est nécessaire d'utiliser le dictionnaire et de les laisser communiquer entre eux, l'information passe très bien et ils apprennent. Puis, chaque groupe lis sa traduction. On porte la plus correcte au tableau et on fait les corrections qui s'imposent avec l'aide de leur prof de langue arabe. Je dois souligner que ce travail demande une très bonne coordination entre les deux profs de langue arabe et de français.
Message de Bethléem
Je vous écris pour vous dire que nous allons bien
Ne vous inquiétez pas, nous allons bien;
Une centaine de martyrs et nous allons bien;
Un millier de blessés et nous allons bien ;
Les soldats israéliens bombardent nos quartiers mais nous allons bien;
Des enfants sont massacrés, blessés, mutilés, handicapés pour le reste de leur jours mais nous allons bien;
Des jeunes, des vieux, des femmes, et des hommes torturés, tués, handicapés mais nous allons très bien;
Les soldats israéliens ont leur mitrailleuses, leurs tanks lourds, leurs hélicoptères et nous avons nos poitrines, nos corps, nos os, nos mains et nos pierres et nous allons bien;
Ils ont les États-Unis, et nous avons notre confiance et nos droits légitimes,
Ils ont peur, mais nous n'avons pas peur du tout,
Ils sont étrangers dans notre pays,
Ils ont l’inquiétude de l'occupant et nous avons l'assurance de la terre et du ciel, et nous n'avons pas peur.
Leurs soldats morts appellent les condoléances des américains mais nos civils morts sont vivants.
Nos morts n'appartiennent pas à la race supérieure, au «peuple élu»
Mes amis, nous n'avons pas peur;
Tout ce vacarme autour de nous ne nous trouble pas. Nous allons bien;
Nous sommes ici, avec notre soleil, notre ciel, notre terre, notre sol et nos pierres, et nous n'avons pas peur.
Mais ce qui nous fait peur, c'est le silence des peuples du monde sur ce qui nous arrive.
Merci mes amis d’être ici.
Merci de penser à nous de temps à autre, et de ne pas nous oublier dans vos prières quand le soleil se couche, quand tout le monde s'en va, quand ces mères n'ont plus que leur douleur, leur solitude et la mémoire de leurs enfants morts.
Merci mes amis de ne pas nous laisser sous une chape de silence.
Croyez - moi, mes amis, nous n'avons pas peur, ne vous inquiétez pas, nous allons bien.
Association France - Palestine.
رسالة من بيت لحم
أكتب لأقول لكم نحن في أحسن حال
لا تقلقوا نحن في أحسن حال
مقدار مئة شهيد ونحن في أحسن حال
ألف جريح ونحن في أحسن حال
الجنود الإسرائيليون يقنبلون أحيائنا لكن نحن في أحسن حالأطفالنا قتلى، جرحى، مشوهين، معوقين مدى الحياة لكن نحن في أحسن حال
شباب، شيوخ، مساء، رجال يعذبون يقتلون ويعوقون لكن نحن في أحسن حال
الجنود الإسرائيليون لهم رشاشتهم ودباباتهم وطائرتهم
ولنا صدورنا وعضامنا و أيدينا و حجارتنا
ونحن في أحسن حال
لهم أمريكا و لنا ثقفتنا وحقوقنا المشروعة
هم خائفون لكن نحن لسنا كذالك
هم غرباء في أرضنا
لهم قلق المستعمر ولنا يقين الأرض و السماء ولستا خائفين
جنودهم الذين ماتوا سطلبون التعزية من أمريكا
لكن أمواتنا المدنيين أحياء لا يموتون لأنهم لا ينتمون إلى الشعب المختار
أصدقائي لسنا خائفين كل هذه الضجة حولنا ولا نضطرب نحن في أحسن حال
نحن هنا بشمسنا وسمائنا و أرضنا وترابنا وحجارتنا لسنا خافين
لكن صمت شعوب العالم هو الذي سخيفنا شكرا أصدقائي
شكرا عندما تفكرونا فينا من خين إلى حين شكرا عندما تذكرنا في صلواتكم عند غروب الشمس
عند ذهاب الجميع عندما لا يبقى للأمهات إلا الألام و الوحدة و ذاكرة أطفالهم الموتى
إلا الألام و الوحدة
صدقوني أصدقائي نحن لسنا خائفون لا تقلقوا علينا نحن في أحسن حال
الجمعية الفرنسية الفلسطيتية
votre commentaire -
Par saidataha le 28 Juin 2015 à 01:05
Ceci doit normalement intéresser surtout les parents. En effet, combien de fois, un parent m'a posé la question suivante " mon enfant est trop faible en français, comment faire ? En fait, les parents attendent des solutions miracles, hélas, elles n'existent pas. Pourtant, d'autres solutions réelles existent et qui dépendent surtout de la bonne volonté de l'enfant lui - même. Parmi lesquelles, je citerai les écoles privées qui font de l'excellent travail. Mais bon je vais vous parler de mon expérience personnelle avec mon fils. Il a eu une très bonne moyenne au bac et il suit aisément les cours de médecine tous dispensés en français. A l'école primaire, il n'a jamais brillé en français. J'ai cherché à lui apprendre la langue mais en vain pour beaucoup de raisons. En 1ère année au cem, nous avons acheté un pc. Il a commencé molo molo puis c'est le coup de foudre : il a découvert les jeux en français et en anglais. Il est donc devenu demandeur de langue. Je n'avais plus besoin de lui apprendre la langue car c'était lui qui me harcelait. Il voulait comprendre ce qui se passe dans tel film, il voyait aussi les films, ou comprendre comment fonctionne un jeu.
Vous avez compris. Grâce aux jeux votre enfant peut apprendre une langue. Vous lui offrez un pc avec un abonnement à l'Internet, c'est pas obligatoire mais je préfère. Vous le guidez, le conseillez, le suivez sans jouer au trouble fête. Si votre enfant est accroché par les jeux, vous allez être heureusement surpris mais attention il y a aussi d'autres matières qu'il ne faut pas négliger.
votre commentaire -
Par saidataha le 26 Mars 2015 à 23:13
En décembre 2000, j'ai proposé à mes élèves de 2ème année science de la nature et de la vie, de créer un journal de la classe. Ils ont tout de suite adopté cette idée. Ils ont fini par me dépasser. Effectivement, cette idée est devenue la leur et très vite le travail à commencer. Ils avaient énormément d'imagination. Ils étaient tellement enthousiasmés qu'ils pensaient au numéro 2 de "fenêtre" (c'est le nom qu'ils ont donné à cette revue) avant l'apparition du numéro 1 qui est apparu en décembre 2000 et le second en avril 2001. Le numéro 2 a été fait en arabe et en français, les élèves ont donc sollicité leur prof d'arabe pour corriger leurs écrits. Tout a été fait par les élèves. Absolument tout, moi et le prof d'arabe, notre travail se limitait à corriger et à diriger.
Nos élèves sont vraiment loin d’être des "machines à connaissances". Mais pour se rendre compte de cette vérité, il faut leur faire confiance. Il faut atterrir pour leur permettre de décoller. Il faut aller beaucoup plus loin que de comprendre ..... appendre et créer et croyez moi , ils vont vous surprendre.
votre commentaire -
Par saidataha le 26 Mars 2015 à 23:10
Dans cet article, je propose deux poèmes d'élèves parus dans le journal"fenêtre" de la classe 2S1 en 2001(voir créer un journal).
Et si nos enfants nous demandent qui est Mohamed Doura ?
Mohamed Doura, le symbole
J'aime le vent quand il souffle sur un pays en paix
J'aime l'espoir sous toutes ses formes
J'aime les enfants palestiniens qui sont contre la guerre
J'aime les enfants du monde qui sont nés libres
J'aime les enfants qui donnent leur vie pour leur pays
Mohamed Doura est mort.
Le masque est tombé
Les envahisseurs sont là
Ils pensent qu'il est pour rien
Qu'il est mort en cachette
Mais l'image est nette
Un père, un petit, des pierres
Des soldats, des tanks, des balles
Un petit enfant est mort
C'est rien. Mais c'est un palestinien
Qui s'appelle Mohamed Doura
Mort des pierres à la main.
Doura le monde ne peut pas t'oublier.
Benmiloud Zohra, 2S1, avril 2001.
Enfants de la pierre
Essuie tes larmes
Et sème la joie dans les cœurs des enfants tristes
Sans peur et sans hésitation
Annonce leur la victoire
Car les héros palestiniens affrontent
Les flammes meurtrières avec des pierres
C'est seulement des enfants au grand cœur
Ils veulent vivre en paix
Dans leur pays libre
Ils essuient les larmes des innocents
Ils plantent dans leur cœur la foi en Dieu
Ils plantent l'olivier
Ils plantent l'amour d'autrui
Palestiniens
Et tous les opprimés du monde
Nous sommes avec vous
Nous sommes tristes
Lorsque vous l’êtes
Frères
Nous sommes désolés
Que nos bras ne soient pas assez longs
Pour pouvoir jeter une pierre.
Bensaffedine Loubna, 2S1, 2001.
votre commentaire -
Par saidataha le 14 Mars 2015 à 22:09
Je pense que chacun de nous s'est posé, un jour, la question : comment me faire respecter et faire régner le calme, qui sans lui, il ne peut y avoir d'apprentissage?
La plupart des enseignants, dès le début, instaurent un règlement qu'ils imposent par la force et qui est entretenue par des punitions. Généralement cela fonctionne très bien mais ce procédé, utilisé pratiquement par tout le monde, a le défaut considérable d’être continuellement vigilant car à la moindre défaillance tout saute en l'air. Les élèves n'attendent que l'opportunité de tester le " système de sécurité" du prof. En plus, cela mine complétement l’initiative et l'apprentissage des élèves. Et c'est très épuisant d’être toujours aux aguets.
Comment faut - il faire alors ?
Je vous parle de mon expérience : au début de l'année, je passe dans les rangs et je dis bonjour à chaque élève, parfois je serre aussi la main. Après une dizaine de jours, je recommence, puis après un mois. J'ai remarqué que ça un effet très positif sur les élèves. Ensuite, je me suis interdit de crier en classe ( c'est très très difficile ). Je tentais toujours de parler doucement, de chuchoter. Je faisais de l'humour mais attention, c'est une lame à double tranchant. En effet, l'humour peut désamorcer une mauvaise situation mais s'il est mal employé, d'en créer d'autres plus mauvaises. Il faut aussi éviter les menaces. Je parle de véritables menaces. Personnellement, j'ai fait des efforts dans ce sens et j'ai à peu près réussi. Pour finir, il est nécessaire de savoir être ferme. Par exemple, si je dis à quelqu'un de changer de place, je dois m'arranger pour qu'il exécute la consigne, sinon je crée un antécédent et personne ne m’obéira. Il ne s'agit pas de faire de nos élèves des esclaves, loin de là mais de faire en sorte que le respect soit mutuel pour que l'apprentissage se fasse dans une atmosphère ambiante.
1 commentaire -
Par saidataha le 13 Mars 2015 à 20:16
Tout au début de ma carrière et cela à continuer plusieurs années plus tard, voire meme jusqu'à ma retraite. De quoi s'agit - il ? Ben c'est simple, chaque fois que je fais un exercice, ce qu'on appelle communément leçon ou cours, j'apprenais ce que je devais faire apprendre à mes élèves. Je m'explique; prenons un exemple, quand j'ai voulu enseigner le conditionnel, je remplissais le tableau de la conjugaison de verbes à ce mode que les élèves, les pauvres, avaient la corvée de tout recopier et pour faire beau, j'y ajoutais en bonus, des couleurs. Et je croyais que j'ai accompli un chef d'oeuvre. Je croyais que tout est beau mais en réalité, moi meme, je n'avais rien compris ici, au conditionnel. Je ne pouvais pas donner quelque chose que je n'avais pas. Alors, au fil des exercices, je faisais le "plein" de ce que je voulais faire et chose assez étrange, ce n'est qu'en plein cours que je comprenais et j'apprennais avec mes élèves ce que je voulais qu'ils apprennent.
C'est pas clair? C'est aussi mon avis
votre commentaire -
Par saidataha le 11 Mars 2015 à 21:01
J'ai tout préparé avant d'arriver en classe. J'ai lu et relu ce que j'ai à faire. Mon exercice ( leçon ) est au point, enfin, il me semble. Une fois devant les élèves, cela marche à merveille : je bouge, je parle, je fais même de l'esprit, les élèves rigolent, participent, parlent, écrivent bref la classe est pareille à un essaim d'abeilles. Je suis satisfait. Je suis même heureux car j'ai réussi. En fait, est ce que j'ai réellement réussi ? Comment je le sais ? Quel critère pour le savoir ? A votre avis, quel indice m'indique si j'ai réussi ou non ? Et qu'est ce que j'ai réussi ?
Chacun de nous trouvera des réponses à ces questions, j'en suis sur. Mais nous, enseignant, nous ne devons pas nous arrêter en route. Car réussir un exercice ce n'est qu'une (infime) étape. Nous devons continuer à chercher, à mettre notre enseignement en doute pour progresser sinon nous allons régresser et ... finir par être dégouter et surtout dégouter les élèves.
votre commentaire -
Par saidataha le 22 Février 2015 à 00:34
Il faut se rendre à l'évidence, il n'est pas toujours facile de faire un travail "comme il faut". Chacun de nous a sa vie avec tous ses problèmes. Donc, passé ce prologue, il m'est arrivé quelques fois, pas beaucoup de fois, d'arriver en classe sans avoir rien préparé. Je ne devais pas dites vous? Oui, oui, vous avez absolument raison. Mais je l'ai fait. Ça arrive à tout le monde et je ne suis pas l’exception. Une fois en classe, j'ai du improviser alors j'ai eu l'idée du jeu de la chaine ( c'est juste une petite idée très simple) pendant lequel, avec l'aide du prof, les élèves inventent une histoire. Dans la mesure du possible , les élèves forment un cercle sinon vous travaillez par rangée. Le prof donne le début de la narration par exemple : ce matin, avec mon ami ... l'élève qui est juste à coté de l’enseignant répète et continue la phrase. L'apprenant suivant fait de même et ainsi de suite. Les élèves peuvent écrire pour se souvenir car la phrase va s'allonger. Ils peuvent "souffler" à leur camarade des mots ou des parties de phrases. Il faut que l'exercice garde le coté ludique. Il faut qu'il soit amusant sinon les élèves vont vous lâcher. A la fin, vous demandez d'écrire individuellement le texte obtenu. Vous pouvez faire lire un texte et/ou l'écrire au tableau.
C'est un exercice très intéressant dans la mesure où il sollicite l'imagination des élèves. Mais il est quand même assez difficile vu le niveau de nos élèves en français. Il peut être aussi très fatigant surtout pour l'enseignant qui doit être continuellement omniprésent pour "tirer" ses élèves vers le haut.
1 commentaire -
Par saidataha le 16 Février 2015 à 19:39
Dans ma carrière d'enseignant, j'utilisais des pauses techniques ou pédagogiques, c'est des moments que je prenais pour discuter avec les élèves. Je consacrais une minute à une minute trente secondes à peu près à chaque élève. Je passais dans les rangs, je parlais avec les élèves, je jetais un bon coup d’œil sur les cahiers sans les corriger. Parfois, je tombe sur un élève dont le cahier est incomplet ou qui n'a carrément pas de cahier, c'est rare mais c'est possible. A cet élève, je donne un délai pour revoir son cahier. Je donnais des conseils, des consignes aussi. J'écoutais les élèves, c'est un acte très important car les élèves ont des choses à dire.
Ces pauses doivent être périodiques, une fois par mois pour les classes qui n'ont pas d'examen. Vous pouvez les utiliser chaque fois que c'est nécessaire. Pour les classes d’examen ces pauses doivent être plus fréquentes surtout à l'approche de l'examen. A ce moment, vous parlez à toute la classe pendant une dizaine de minutes surtout pour décompresser les élèves car ils vivent une pression terrible. Vous pouvez leur dire et à titre indicatif, que l'examen est juste une composition, qu'ils l'ont bien préparé donc ils n'ont pas de raison d'avoir peur. Que pendant toute l'année, ils ont fourni beaucoup d'efforts maintenant ils doivent compter sur Allah. Que c'est normal d'avoir un peu peur parce que cette peur leur permet d’être conscient, c'est humain. Leur dire que c'est tout à fait naturel ce qu'ils ressentent. En un mot aidez les à gérer leur stress.
Pendant la pause il faut respecter l'enfant ou l'adolescent, il ne faut pas fouiller dans ses affaires, par exemple. Il a sa vie privée. A la fin, ici je vous propose juste une "ficelle" non négligeable que vous pouvez adopter, adapter et bien entendu améliorer.
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique